mercredi, février 28, 2007


On est peu de chose...

Des chercheurs japonais mutent une bactérie en carte-mémoire

TOKYO (AFP), 11:27
© AFP

La bactérie "bacillus subtilis" capable de conserver des données numériques durant des siècles
Une équipe de chimistes japonais de l'Institut des sciences du vivant de l'Université de Keio (IAB) affirme avoir développé un procédé qui permet de conserver d'importants volumes de données numériques durant des siècles sur les gènes d'un organisme vivant, telle qu'une bactérie.

Cette forme de mémorisation d'informations numériques pourrait permettre à un laboratoire de stocker des données de propriété intellectuelle sur des organismes vivants génétiquement modifiés, selon les chercheurs.

"Les bactéries, et autres mini-organismes qui se reproduisent sur la base d'un code génétique défini, constituent des éléments potentiels de stockage de données qui suscitent un grand intérêt dans la communauté scientifique", a expliqué l'équipe japonaise dans les conclusions de ses travaux récemment publiés aux Etats-Unis.

"Par rapport aux disques durs et aux cartes-mémoires, ils sont extrêmement petits mais peuvent stocker sur leurs gènes des données en grande quantité sur une très longue période", selon les chimistes japonais.

Les recherches de l'équipe de Keio, qui ne sont pas les premières du genre, apportent un début de solution au problème de la pérennité des données.

"Nous avons développé une technologie qui permet de stocker des informations en plusieurs endroits sur les gènes d'une bactérie, ce qui permet notamment de diminuer les risques de destruction des informations à la suite des mutations génétiques survenant au fil du temps", ont-ils précisé.

Pour ses tests, l'équipe a "gravé" sous forme cryptée sur une bactérie non pathogène ("Bacillus subtilis") un bref message écrit en utilisant un procédé qui permet grosso modo de transcrire des données alphanumériques en éléments chimiques. Ces composés chimiques sont inscrits ensuite sur une séquence de gènes de la bactérie.

Pour retrouver les données, il suffit selon les chercheurs de comparer le génome normal de la bactérie et celui modifié, les différences révélant le message crypté.

Sur la base de simulations informatiques, l'équipe japonaise assure que la "Bacillus subtilis" est une espèce satisfaisante pour la conservation à long terme de données volumineuses.

mardi, février 27, 2007

samedi, février 24, 2007



- adoptez moi

mercredi, février 21, 2007

Rien à faire ? Rien à dire ?
Alors asseyez vous la quelques instants...

Petite devinette :
Je suis plus grand que Dieu
Je suis plus méchant que le Diable
Les pauvres m'ont
Les riches ont besoin de moi
Et si tu me manges, tu meurs...
Qui suis-je ?



RIEN !

mercredi, février 14, 2007


Puisque je suis passé voir Iced Tea, j en profite pour faire une grosse biz à tous ceux qui savent lire entre les pixels et qui m auront reconnu !

mardi, février 13, 2007


ça va être bien, la Bretagne, pendant la fin du monde !

dimanche, février 11, 2007

Histoire 9
23 Septembre










- qu est ce t en penses ?
- c est nul !
- qui, lui ?
- non, l autre !

samedi, février 10, 2007


il y a somme toute assez longtemps que j'ai pas lèché des chiottes publiques...

jeudi, février 08, 2007


Afin de remonter un peu le moral et des voir l etat d esprit general du monde, voici un petit texte, et même si je suis d accord, c est pas moi qui l ai écrit. La presse nord-américaine a refusé de publier ce texte.

Pendant un débat dans une université aux États-unis, le ministre de l'Éducation brésilien Cristovam Buarque, fut interrogé sur ce qu'il pensait au sujet de l'internationalisation de l'Amazonie, proposée par les USA. Le jeune étudiant américain commença sa question en affirmant qu'il espérait une réponse d'un humaniste et non d'un Brésilien.

Réponse de M. Cristovam Buarque :
" En effet, en tant que Brésilien je m'élèverais tout simplement contre l'internationalisation de l'Amazonie. Quelle que soit l'insuffisance de l'attention de nos gouvernements pour ce patrimoine, il est nôtre. En tant qu'humaniste, conscient du risque de dégradation du milieu ambiant dont souffre l'Amazonie, je peux imaginer que l'Amazonie soit internationalisée, comme du reste tout ce qui a de l'importance pour toute l'humanité. Si, au nom d'une éthique humaniste, nous devion> internationaliser l'Amazonie, alors nous devrions internationaliser les réserves de pétrole du monde entier. Le pétrole est aussi important pour le bien-être de l'humanité que l'Amazonie l'est pour notre avenir. Et malgré cela, les maîtres des réserves de pétrole se sentent le droit d'augmenter ou de diminuer l'extraction de pétrole, comme d'augmenter ou non son prix. De la même manière, on devrait internationaliser le capital financier des pays riches. Si l'Amazonie est une réserve pour tous les hommes, elle ne peut être brûlée par la volonté de son propriétaire, ou d'un pays. Brûler l'Amazonie, c'est aussi grave que le chômage provoqué par les décisions arbitraires des spéculateurs de l'économie globale. Nous ne pouvons pas laisser les réserves financières brûler des pays entiers pour le bon plaisir de la spéculation. Avant l'Amazonie, j'aimerai assister à l'internationalisation de tous les grands musées du monde. Le Louvre ne doit pas appartenir à la seule France. Chaque musée du monde est le gardien des plus belles oeuvres produites par le génie humain. On ne peut pas laisser ce patrimoine culturel, au même titre que le patrimoine naturel de l'Amazonie, être manipulé et détruit selon la fantaisie d'un seul propriétaire ou d'un seul pays. Il y a quelque temps, un millionnaire japonais a décidé d'enterrer avec lui le tableau d'un grand maître. Avant que cela n'arrive, il faudrait internationaliser ce tableau. Pendant que cette rencontre se déroule, les Nations unies organisent le Forum du Millénaire, mais certains Présidents de pays ont eu des difficultés pour y assister, à cause de difficultés aux frontières desÉtats-unis. Je crois donc qu'il faudrait que New York, lieu du siège des Nations unies, soit internationalisé. Au moins Manhattan devrait appartenir à toute l'humanité. Comme du reste Paris, Venise, Rome, Londres, Rio de Janeiro, Brasília, Recife, chaque ville avec sa beauté particulière, et son histoire du monde devraient appartenir au monde entier. Si les États-Unis veulent internationaliser l'Amazonie à cause du risq que fait courir le fait de la laisser entre les mains des Brésiliens, alors internationalisons aussi tout l'arsenal nucléaire des États-unis. Ne serait-ce que par ce qu'ils sont capables d'utiliser de telles armes, ce qui provoquerait une destruction mille fois plus vaste que les déplorables incendies des forêts brésiliennes. Au cours de leurs débats, les actuels candidats à la Présidence des États-Unis ont soutenu l'idée d'une internationalisation des réserves forestières du monde en échange d'un effacement de la dette. Commençons donc par utiliser cette dette pour s'assurer que tous les enfants du monde aient la possibilité de manger et d'aller à l'école. Internationalisons les enfants, en les traitant, où qu'ils naissent, comme un patrimoine qui mérite l'attention du monde entier. Davantage encore que l'Amazonie. Quand les dirigeants du monde traiteront les enfants pauvres du monde comme un Patrimoine de l'Humanité, ils ne les laisseront pas travailler alors qu'ils devraient aller à l'école, ils ne les laisseront pas mourir alors qu'ils devraient vivre. En tant qu'humaniste, j'accepte de défendre l'idée d'une internationalisation du monde. Mais tant que le monde me traitera comme un Brésilien, je lutterai pour que l'Amazonie soit à nous. Et seulement à nous ! "

Et quand certains trouvent que ça sent un peu la merde, ils feraient bien de regarder sous eux !

samedi, février 03, 2007


Triste. Triste de voir que j'avais raison. Raison de croire en mon pessimisme latent. Ca y est, les scientifiques officiels et mondiaux sont enfin d accord avec mes intuitions. Maintenant c est sur, la terre va crever, dans un peu moins que pas longtemps. C est officiel et écrit dans le journal. Et désolé de contredire Jean Yanne qui ne disait jamais de mensonges, sauf quand il lisait le journal à voix haute, et bien cette fois ils risquent fort d avoir raison. La terre vit ses derniers instants, et nous avec. Mais c est pas grave, c est juste une question d argent. Vive le politic business ! Et puis d abord eux, ils s en foutent que la terre elle pète, ils ont des vitres blindées sur leurs caisses ! Alors ça, à positiver, ça va pas être simple. Peut être de se dire que nous allons assister en direct à ce grand genocide ecologique et multicolore. On va jeter nos parapluies et nos fourrures polaires. Paris plage va devenir une realité. Chouette. Et puis aussi, on va mourir tout bronzés ! Sinon, en ce moment, moi ça va. Peut être un peu pâle...

jeudi, février 01, 2007