vendredi, février 24, 2006


Qu'importe la façon...

...pourvu qu'on aie l'ivresse !

jeudi, février 23, 2006


Je sais pas, j'hésite encore...

lundi, février 20, 2006

Youpee !!!
c'est un peu long à lire mais vous serez pas déçus !!!




"Successeur terrestre du projet Star
Wars (Guerre des étoiles), le Haarp serait, par ses extraordinaires puissances
et polyvalence, "l'arme ultime" des États-Unis.
Les
Américains sont-ils en train de mettre au point un vaste système
d'armement capable de :
scanner les entrailles
de la terre à la recherche de bases secrètes,
d'interrompre
toute forme de communication hertzienne,
d'influencer
les comportements humains, de modifier la
météorologie, de griller les
avions dans le ciel comme le ferait un vulgaire four à micro-ondes
de votre potage, de provoquer
des tremblements de terre ou des explosions
aussi puissantes qu'une bombe atomique.  Avec le
"Haarp", l'armée américaine serait en train de rééditer, sous une forme
plus économique et plus dangereuse encore, son projet "Star Wars" ou
Guerre des étoiles. A une différence près : il s'agit cette fois d'une
installation terrestre. Plusieurs scientifiques et
experts en armement ainsi que des députés du Parlement européen se montrent
préoccupés, c'est un euphémisme, par le développement de ce projet.
C'est pourquoi un expert en énergie, Gratan Healy, conseiller auprès
des parlementaires, rassemble pour l'instant les pièces accusatoires
de ce projet de fin du monde.
Magda Haalvoet, une eurodéputée
belge, chef de file du groupe des Verts au Parlement européen est
en charge du dossier. C'est elle qui doit donner une suite officielle
aux demandes d'éclaircissement des membres de son groupe et qui fera
en sorte que le Parlement fasse pression, via l'Otan, pour que les Etats-Unis
répondent à toutes questions utiles, Magda Haalvoet est inquiète.
Elle affirme même que ce type d'armement ("non lethal weaponery"), outre
les conséquences écologiques désastreuses qu'il implique, "peut mettre
en danger les libertés individuelles et la démocratie". Rien de moins.
30 millions de dollars


Les initiales HAARP signifient
en anglais "High-frequency Active Auroral Research" (recherches dans
le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales.) De
prime abord, derrière ces initiales un peu ésotériques, se cache un projet
de 30 millions de dollars de co°t annuel que l'armée américaine présente
comme d'innocente recherches sur l'ionosphère. Les promoteurs du projet
n'épargnent ni leur énergie, ni leurs dollars en campagnes de relations
publiques et en publicité pour rassurer l'opinion américaine. Néanmoins,
il est difficile de croire qu'il ne s'agit pas d'un projet à des fins
militaires lorsque l'on sait que les vrais bailleurs de fond sont la
Navy, l'Air Force et le Département de la Défense.


A quoi ressemble Haarp sur
le terrain ? Il s'agit d'une vaste installation qui s'étend sur plusieurs
hectares, à Gakona, une petite localité au nord-est d'Anchorage en Alaska.
Le coin n'est pas si perdu que cela puisque l'installation jouxte les
immenses réserves gazières et pétrolières appartenant à la société
Arco, par ailleurs propriétaire des brevets technologiques composant
Haarp et "financier-écran" de ces équipements.

En outre,
Haarp est relié à l'un des ordinateurs les plus puissants de la planète
à l'université d'Alaska dans le Butrovich building. Quant à son aspect
physique, il s'agit somme toute d'un vaste périmètre plat et déboisé,
planté de 48 antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur
d'un peu moins de 1 million de watts de puissance. A terme, le nombre
d'antennes et la puissance des émetteurs sont appelés à se multiplier
pour atteindre la puissance phénoménale de 1 milliard de watts émis par
un réseau de 360 antennes. Les émetteurs sont alimentés en énergie
par 6 turbines de 3.600 CV brûlant quelque 95 tonnes de diesel par
jour. 
On
notera ici que l'ensemble de l'installation est assez nocive pour l'environnement
proche puisqu'elle émet plus de 7 tonnes de matières polluantes par jour.

   A quoi ça sert ?
Officiellement, les scientifiques
qui travaillent sur cet émetteur radio mégalomaniaque veulent étudier
l'ionosphère. Officieusement, Haarp va tirer parti de l'ionosphère pour
en faire une arme à énergie. L'ionosphére est cette couche située
au-dessus de la stratosphère, constituée de particules ionisées hautement
chargées en énergie et qui démarre à une altitude moyenne de 48 km
pour se terminer à 600 km de notre surface terrestre. Cette couche
à haute densité énergétique est vitale pour notre planète car elle joue
un rôle fondamental de bouclier, au même titre que la couche d'ozone.
Elle nous protège des dégagements nocifs du soleil. L'ionosphère
"capture" entre autres choses les particules chargées électriquement
et nées des "vents et tempêtes" solaires et galactiques. On sait
par ailleurs que les recherches menées depuis un siècle par une serie
de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce  "manteau énergétique"
protégeant la terre pouvait, avec une technologie appropriée, devenir
une arme stratégique de toute première importance.

Haarp se fonde sur les recherches
de Bernard Eastlund, qui s'est lui-même inspiré des travaux de Nikola
Tesla, un
scientifique croate, inventeur de génie du début du siècle, à qui l'on
doit le courant alternatif (combattu par Edison favorable au courant
continu) et le courant triphasé... Tesla mit notamment au point un procédé
permettant de transférer de hautes quantités d'énergie électrique
sans l'apport de c,ble sur une distance de 42 km et il consacra une bonne
partie de ses recherches à "l'énergie ionosphérique" et aux phénomènes
électromagnétiques. Ses travaux furent financés, canalisés, puis
censurés pour des raisons financières par le banquier JP Morgan et la
société Westinghouse. (voir remarquable génie Nikola Tesla et comment
mener une guerre biologique et psychologique)


Un peu
moins d'un siècle plus tard, Bernard Eastlund n'a fait qu'adapter les
premiers travaux de Tesla dans lemdomaine de l'énergie électromagnétique.
Et c'est ainsi que ce chercheur déposa douze brevets, entre 1987 et 1994,
qui constituent l'ossature du projet "Haarp" et de ses technologies
dérivées en matière d'armements. Le vrai propriétaire et exploitant
de ces brevets n'est plus Eastlund (qui a fini par être éjecté du projet
pour des raisons obscures) mais bien la société Apti-Arco, un consortium
pétrolier derrière lequel se profilent la Navy, l'Air Force et le Départment
of Défense US. Depuis le dépôt des brevets Eastlund, toute la recherche
dans le domaine de l'énergie électromagnétique, par exemple à des fins
médicales, est bloquée. C'est donc un vaste champ hautement prometteur
de la science et de la médecine qui a été ainsi monopolisé par des
intérêts liés à l'armée américaine.


Comment
cela fonctionne-il?



Toute la
technologie contenue dans le projet "Haarp" revient, grosso modo, à pointer
vers l'ionosphère un faisceau d'ondes (comme le ferait un émetteur radio)
à hautes fréquences (HF) afin de voir ce qui s'y passe. Le bombardement
d'une zone donnée de l'ionosphère avec ces HF a pour effet de créer
un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette "antenne"
virtuelle réémettra des fréquences extrêmement basses (ELF : extremely
low frequency) vers la terre. pour employer une image, outre l'effet
d'antenne virtuelle ainsi déployée dans le ciel, on crée une sorte de
four micro-ondes géant dans un territoire donné de l'ionosphère. Malheur
aux avions et aux missiles qui passeraient dans le ciel à ce moment-là.
selon la puissance des émetteurs, on pourrait tout aussi bien affoler
les systèmes de guidages électroniques, radars et autres appareils radio
de ces missiles et aéronefs que de les griller.


Par ailleurs,
grâce à l'antenne virtuelle constituée d'ondes ELF, on peut véritablement
scanner la croûte terrestre à des profondeurs extrêmes pour en faire
une sorte de radiographie. De la sorte, les militaires américains
sont fiers d'affirmer que grâce à "Haarp", plus aucun pays ne pourra
leur cacher l'implantation de bases secrètes souterraines abritant des
armes nucléaires... Selon des études de spécialistes américains en
armement, on pourra également communiquer avec les sous-marins en plongée
profonde situés dans des coins reculés des océans, détecter puis
détruire tout missile ou avion, même furtif, s'engageant dans l'espace
aérien américain.


Le but
ultime étant de générer un bouclier protecteur global capable de faire
le tri entre les cibles ennemies, nucléaires ou conventionnelles, et
de les "traiter" de la façon adéquate. Enfin "Haarp" a surtout pour but
d'empêcher toutes les communications radio et satellites ennemies dans
une zone précise. En plus, avec l'aboutissement de ce projet, les
Américains pourront rendre leur propre système de communication quasiment
inviolable. Voilà pour la version officielle.


Les
buts occultes

Sur la
base des travaux et brevets d'Eastlund, d'autres scientifiques, chercheurs,
journalistes et militants écologistes se sont engagés dans un véritable
jeu de détective avec l'armée américaine afin de déterminer d'autres
aspects non avoués par l'Air Force et la Navy du projet "Haarp". Parmi
ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui,
naguère, avait été désignée comme expert par l'administration Reagan
pour étudier les effets du projet d'armement "Star Wars". Elle est
aujourd'hui consultante pour le Parlement européen sur "Haarp". Ou encore
le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste
indépendante qui s'est spécialisée dans les recherches sur les énergies
dites "non conventionnelles" qui sont coauteurs d'un livre "anti-Haarp"
au titre évocateur : "Angel dont' play this Haarp", qui a fait grand
bruit outre-Atlantique et qui révêle, sur la base de données sérieuses,
les applications occultes du projet. Le fruit de leur enquête a été
corroborée par d'autres scientifiques comme le Pr Zielinski, un physicien
allemand spécialisé dans l'électrodynamique quantique ou le chimiste
américain Richard Williams. La liste des détracteurs scientifiques de
Haarp est innombrable.

 


Pensées
contrôlées

Selon ces
scientifiques, les militaires n'en sont qu'à la phase expérimentale de
leurs travaux mais les résultats déjà enregistrés sont très prometteurs.
Ainsi, grâce à l'injection de fortes quantités d'énergie dans l'ionosphère,
on pourra influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques
dans une région donnée... ou cauchemardesque dans une autre.


Comment? Tout simplement en modifiant
la circulation des vents en haute atmosphère là o ils entrent en interaction
avec l'ionosphère. On pourra également provoquer la libération soudaine
d'une énorme quantité d'énergie en imitant par exemple le flash provoqué
par une explosion nucléaire à haute altitude. Un type d'action militaire
qui ne relève en rien de la science-fiction puisqu'elle a déjà été
utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de
l'opération "Desert Storm". Selon le périodique militaire officiel Defence
News (n19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le
champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon).  
Le but de cette arme est double: il permet, comme le fait une explosion
nucléaire, d'empêcher toute forme de communication radio chez l'ennemi
et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend
mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens
se sont rendus sans combattre. Autre application de la technologie "Haarp"
: transmettre sans l'apport d'un cable électrique de fortes quantités
d'énergie d'un point à l'autre. Utile, par exemple, pour ravitailler
à distance les batteries électriques d'un sous-marin.


Mais il
reste un domaine d'application, encore plus effrayant dont les militaires
américains pourraient tirer parti grâce au projet "Haarp". Vu le passif
de l'Air Force et surtout de la CIA en matière d'expérimentations chimiques
et bactériologiques, il est concevable que les militaires n'aient
pu résister à la tentation de faire de Haarp une arme polyvalente. On
se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur
de pauvres soldats conscrits qui consistaient à leur injecter d'énormes
quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences
pour influencer les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952,
le Dr Jose Delgado, professeur à Yale, avait découvert que l'on pouvait
affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d'un individu
par l'utilisation de certaines fréquences et certaines ondes.


Le Dr Nick
Begich, coauteur de l'ouvrage Angels dont' play this Haarp, maintenant
traduit en français titré "Les anges ne jouent pas de cette HAARP" chez
Louise Courteau Éditrice, n'hésite pas à affirmer qu'un des buts
du projet Haarp est de mettre sur pied une telle arme "il est douteux
que les organisateurs du projet Haarp n'aient jamais discuté de ce type
de recherches. Selon mes sources, tous ceux qui sont impliqués dans le
projet sont en fait aux première étapes de développement de ce genre
d'application". des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert
Becker ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à
celles utilisées par Haarp, couplées avec l'emploi de courant alternatif,
génèrent des fréquences "où la plupart des fonctions cérébrales profondes
de l'être humain peuvent être manipulées de l'éxtérieur avec des
résultats très tangibles". Certaines ondes peuvent en effet provoquer
l'apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent,
nous explique le Dr Begich, "un vaste arsenal de réponses et de comportements
émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression,
de désir, d'amour, etc."


Ce type
de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone,
loin s'en faut. Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation
interne (The revolution in military affairs - Stategic Studies Institute-US
Army War College) qui n'est pas censée tomber entre des mains civiles
la conception suivante: "Nos valeurs changent et la technologie s'ouvre
sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les
opérations psychologiques et l'armement psychologique étaient encore
primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l'ère de l'électronique
et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières
morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie)
pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis tant à l'intérieur du pays
qu'à un niveau international... Dès que cela sera possible, nous encouragerons
des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie
appropriée... Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d'armements
comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques
avancées..."

 
Bouclier
global


L'utilisation
des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme
terriblement efficace. Le Dr Rosalye Bertell affirme que les Américains
expérimentent à l'insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales
ce genre d'armement depuis plus de quarante ans. Se sont succédé
ainsi une série de projets : "Argus" (1958), "Starfish" (1962), "Solar
Power Satellite" (1968 et 1978), "Space Shuttle Experiments" (1985),
"Mighty Oaks" (1986) ou "Desert Storm" (1991), qui avaient tous pour
but de jouer avec l'ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes
raisons : rupture des communications de l'ennemi, armes à plasma, etc.


"Haarp"
est donc le dernier chapitre en date de ces projets. Les Américains
auraient même l'intention de développer un véritable réseau de stations
similaires à travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier modulable
total. Ainsi, il existe d'autres complexes de recherches sur l'ionosphère
comme à Puerto Rico, en Norvège à Tromsoe, au Pérou à Jicamarca,
en Russie (près de Moscou) ou encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou
dans le Tadjikistan...


Source
: Telemoustique novembre 1997, Alain Gossens "


AUTRES PAGES
DU SITE SUR HAARP:


HAARP: High Active Auroral
Research Project.

Le projet !


L'Arme Ultime


Autres sites sur le sujet:


< http://www.haarp.alaska.edu/> La page maîtresse
de ce projet.


< http://www.multimania.com/corruptn/10-29.htm> Contrôle de la pensée
et micro-ondes


Catastrophes Naturelles
ou Guerre Climatique ?


Pour le livre de
Tesla "The Fantastic Inventions of Nikola Tesla" by Nikola Tesla